Miller’s Girl (2024) Jenna Ortega in the role of a seductive femme fatale… are you tempted? For my part, I love this actress, but wasn’t necessarily convinced by the film. That said, I don’t regret having seen it.
Cairo Sweet (Jenna Ortega) is a gifted, ambitious and strong-willed literature student. Her professor Jonathan Miller (Martin Freeman) sees her creative potential – and that’s not all: Cairo is very different from the other students and exerts a mysterious attraction that he finds hard to resist. As a result, teacher and student become entangled in an increasingly dangerous emotional web, pushing both to their limits. When Jonathan decides to cut ties with Cairo, he has no idea of the disastrous consequences this will have.
Miller’s Girl is a gripping psychological thriller in which a harmless flirtation spirals out of control and turns into an emotional cat-and-mouse game between professor and student. The boundaries between desire and reality become increasingly blurred, linked to unrealistic expectations that draw the student and professor into an intense relationship where there can be no winner.
Miller’s Girl also marks the directorial debut of Jade Halley Bartlett, who is also responsible for the screenplay. I hope she does better in the future. Because there are moments that aren’t very clear, where we don’t really know what has or hasn’t happened. Not easy to understand, then! And the ending… quite incomprehensible.
Martin Freeman (“Black Panther”) acts as producer and convinces at the same time as Jonathan Miller, the self-doubting literature professor, who has to face a brilliant Jenna Ortega (“Wednesday”) as the student Cairo Sweet.The duo is rounded out by Bashir Salahuddin (“Top Gun: Maverick”) as Boris Fillmore, Jonathan’s cool & funny friend. Gideon Adlon (“The Sexual Pact”) as Winnie Black, Cairo’s insufferable, vivacious college friend.It gets boring pretty quickly, even if the actors are good.
And yet, it starts out well, with some fine poetry quotes and a lot of promise, which in the end, very disappointingly, falls into some really annoying clichés. Jenna Ortega is a real delight to watch and often the highlight of some films, but come to think of it, this is the first time I’ve found her so unconvincing in a role.
At the same time, the overall writing is so catastrophic that it wasn’t easy for the actors to offer something relevant with such grotesque source material.
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Miller’s Girl (2024) Jenna Ortega dans un rôle de femme fatale séductrice… ça vous tente ? De mon côté, j’adore cette actrice, mais pas forcément été convaincu par le film. Ceci dit, je ne regrette pas de l’avoir vu.
Cairo Sweet (Jenna Ortega justement) est une étudiante en littérature douée, ambitieuse et volontaire. Son professeur Jonathan Miller (Martin Freeman) voit son potentiel créatif – et ce n’est pas tout : Cairo est très différente des autres étudiantes et exerce sur lui une attirance mystérieuse à laquelle il a du mal à se soustraire. C’est ainsi que le professeur et l’élève s’empêtrent dans un réseau émotionnel de plus en plus dangereux, qui les pousse tous deux à leurs limites. Lorsque Jonathan décide de couper les ponts avec Cairo, il ne se doute pas des conséquences désastreuses que cela va avoir… Miller’s Girl est un thriller psychologique captivant dans lequel un flirt anodin dérape et se transforme en un jeu du chat et de la souris émotionnel entre le professeur et l’étudiante. Les frontières entre le désir et la réalité s’estompent de plus en plus, liées à des attentes irréalisables qui entraînent l’étudiante et le professeur dans une relation intense où il ne peut y avoir de gagnant.
Miller’s Girl marque également les débuts de Jade Halley Bartlett en tant que réalisatrice, qui est également responsable du scénario. J’espère qu’elle fera mieux par la suite. Car il y a des moments pas très clairs, où on ne sait pas vraiment ce qui s’est passé ou ne s’est pas produit. Pas évident à comprendre, donc ! Et la fin… assez incompréhensible.
Martin Freeman (« Black Panther ») fait office de producteur et convainc en même temps dans le rôle de Jonathan Miller, ce professeur de littérature en proie au doute, qui doit affronter une Jenna Ortega (« Wednesday ») brillante dans le rôle de l’étudiante Cairo Sweet.Le duo est complété par Bashir Salahuddin (« Top Gun : Maverick ») dans le rôle de Boris Fillmore, l’ami assez cool & marrant de Jonathan, et Gideon Adlon (« Le Pacte sexuel ») dans celui de Winnie Black, l’amie insupportable d’université pleine de vie de Cairo.On s’ennuie assez vite même si les acteurs jouent bien.
Pourtant, ça commençait bien, avec de belles citations de poésie et beaucoup de promesses qui, au final, très décevant, tombent dans des clichés vraiment agaçants. Jenna Ortega est vraiment à croquer et souvent le point fort de certains films, mais, en y réfléchissant, c’est la première fois que je la trouve aussi peu convaincante dans un rôle. En même temps l’écriture globale est tellement catastrophique que ce n’était pas évident pour les acteurs d’offrir quelque chose de pertinent avec un matériel de base aussi grotesque.
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