Road Kill (2024)
Ne pas confondre avec Road Games (2015), aussi connu sous le nom de Road Kill notamment en Allemagne, ni avec le Road Kill de 1999 qui n’était pas si mauvais. Bien sûr, il y en a de meilleurs, mais je l’ai quand même trouvé passionnant. Mais ne le regardez pas parce qu’il est interdit aux moins de 18 ans, car le film ne contient ni vraiment de sang, ni vraiment de scènes violentes ! En tout pas par rapport à tout le pire qu’on a eu l’occasion de voir.
Pas mal de livres portent également ce nom écrit par des auteurs tels que : Hanna Jameson, Jae Mazer, Joe R. Lansdale, Jan Coffey, May Mcgoldrick. Bien sûr, ça ne sera pas de la grande littérature ! Passons à ce film-ci. On ne peut pas dire qu’il est vite vu ! En effet, il dure une heure et demie, mais j’ai eu l’impression qu’il a duré le double. En plus, je l’ai regardé sur Dailymotion, donc avec les pubs, j’ai cru que j’allais y passer ma vie entière.
Par contre, la critique sera vite faite : il n’y a rien de vraiment bien dans ce film. On dirait que c’est un film amateur créé pour les personnes qui apprennent l’anglais ! C’est comme s’il fallait prolonger et ralentir les scènes afin d’atteindre 1h30. Et les non anglophones n’auront pas de quoi se vanter d’avoir compris tous le dialogues. Les gens dans la vraie vie ne parlent jamais comme ça ! Sauf s’ils sont bourrés, drogués ou qu’ils viennent d’apprendre l’anglais.
Bon, ceux qui ont un horrible accent font toujours autant rire et donnent toujours envie de les imiter !
Donc… rien de palpitant ! Et on obtient tout ce que l’on peut obtenir avec les plus mauvais téléfilms. Pas de suspense, pas d’intrigue intéressante, pas de jeu d’acteur dont on se souviendra en positif. Road Kill est une vraie et pure perte de temps digne de ces petits courts-métrages moralisateurs que l’on peut voir défiler sur Facebook qui durent au moins dix minutes et qui ne servent strictement à rien. Si vous ne voyez pas de quoi je veux parler, estimez-vous chanceux !
Les coupures sont mal faites, les transitions aussi, ainsi que les… Non, en fait tout est mal fait ! Même la musique est parfois plutôt mal placée.
Si c’était une parodie, ce serait hilarant. Mais ça n’en est pas une, alors c’est plutôt tragique.
À noter que j’ai apprécié les sept dernières secondes et le générique de fin. Non seulement parce que c’est la fin, mais parce que ce générique est vraiment bien. J’adore quand on revoit les personnages et que le nom des acteurs s’écrit. Et la musique, là, était Death Hex du mythique groupe The Velveteers. Et ça m’a redonné un peu le sourire. Au moins ça !
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