Yellowjackets (Saison 1 & 2) Et voilà, encore une ! Encore une série sans aucun intérêt, mal écrite et qui traîne toujours plus en longueur, épisode après épisode. Les personnages sont caricaturaux et les situations décrites totalement improbables. Pas étonnant, puisque les plus attentifs auront remarqué que l’un des producteurs n’est autre que la réalisatrice Karyn Kusama, déjà coupable de la nullité abyssale Jennifer’s Body (2009), et qui avait ensuite récidivé avec le tout aussi nul Destroyer (2018). Et que dire du déchet absolu Aeon Flux (2005) ?
Seul son Girlfight (2000) sortait du lot. Je n’ai pas détesté The Invitation (2015), contrairement à certains, mais ce n’est pas un film que je voudrais revoir. Deux fois, c’est bien suffisant ! C’est les flashbacks qui deviennent insupportables, au bout d’un moment.
Ici, c’est pareil : les changements d’époque à répétition rend la série difficile à suivre, visionner.
Alléchant dans l’idée et le casting, puis sa fait “pouf !” après tant d’invraisemblances et c’est une réalisation qui stagne entre teen movie et séries dramas américains.
Censée raconter les tentatives de survie d’adolescentes, donc il y a forcément du cannibalisme. Oui ! Cette série montre les mangeurs d’hommes qu’au bout du septième épisode, si jamais, pour ceux qui ne veulent voir que pour ça. Et c’est très souvent sexuel. Le premier festin ressemble à une orgie.
Sans compter qu’il reste plein d’histoires de cœur insipides et la trop rare présence de Juliette Lewis, dont on se demande bien ce qu’elle est venue faire ici.
Ceci dit, quelque chose qui m’a aidé à tenir, c’est vraiment Christina Ricci ! Elle est incroyable, ici. Je l’ai toujours apprécié, mais jamais vraiment adoré, tandis qu’ici, je suis absolument dingue de son personnage et de son jeu d’actrice.
D’ailleurs, je suis tellement heureux qu’elle ait été nominée aux Golden Globes 2024 pour Meilleure Actrice dans un second rôle dans une série, une mini-série ou un téléfilm. C’est plus que mérité !
Marrant, car à la base, je regardais surtout pour Sophie Thatcher ou Melanie Lynskey.
Sophie est une fabuleuse actrice, totalement différente de son rôle dans le film Heretic (2024). Son personnage est énervant, mais son talent est irréfutable.
Quant à Melanie, c’est régulièrement un plaisir de la voir, mais son personnage à elle m’insupporte et me dégoûte profondément. Du coup, difficile d’être aux anges quand je la vois dans cette série.
Il y a bien du chemin qui a été parcouru depuis Heavenly Creatures (1994).
Je devrais peut-être me lancer dans ses autres séries comme Castle Rock ou The Last of Us.
J’ai trouvé cette critique :
«S’il vous plaît évitez vous ce supplice.
À tenir hors de portée de tout public plus âgé que 15 ans.
Une intrigue qui avait du potentiel, mais qui l’espace de quelques épisodes disparaît totalement tellement rien ne tient debout. Un jeu d’acteurs à la limite de la parodie, des choix / décisions tirées par les cheveux. Je n’irai pas forcément plus loin dans mes propos car la saison 1 m’a sincèrement tellement usé, car je me suis forcé au moins à aller au bout, mais… en plus pour ce final !!!
Que Dieu vous en éloigne, véritablement !»
Le pilote semblait si alléchant et puis ça devient rapidement très ennuyeux.
Beaucoup d’invraisemblances et les scénaristes n’ont clairement pas vraiment connu les 90’s.
Vise clairement uniquement un public de jeunes adolescentes.
À éviter pour les autres, je pense !
Si je devais choisir un seul mot, je dirais : déception.
Les personnages sont relativement détestables et les actrices pas toujours charismatiques, en dehors de celles que j’ai déjà mentionné et quelques exceptions. Sans parler de l’alternance entre leurs vies d’ados en 1996 et leurs vies d’adultes qui donne à la narration un effet décousu. Série qui traîne en longueur (toujours pas de crash d’avion à la fin de l’épisode pilote…) et qui pourtant appâte le spectateur avec ses quelques courts passages gores dans la forêt.
En fait, je ne comprends pas que certaines personnes qui raffolent de cette série ait pu me la conseiller en pensant que j’allais aussi aimer.
Une vraie perte de temps. 19 épisodes indubitablement insensés. La série n’a ni queue, ni tête. Les personnages sont assez pathétiques et assez incompréhensible dans leur structure. Le pitch en devient ridicule : tu t’es écrasé dans une forêt, mais t’y reste environ 19 mois. Par chance, t’y a trouvé une maison abandonnée et tu t’y établis. Tu fais bien sûr abstraction du squelette tout en haut, assis sur une chaise.
Bref…
Je décroche !
Bon courage aux autres !!!
Oh ! Je n’ai pas aimé cette série. C’est soit dégoûtant, soit dérangeant, soit irréaliste. Il y a trop de sexe et je déteste les histoires d’infidélités à moins qu’il ne s’agisse de films d’Adrian Lyne ou autres exceptions. Il y a des scènes de violence trop longues. Aucune limite, aucun dosage subtil. C’est sur que c’est du Survival (Survivalisme), mais on n’a pas besoin de tout voir pour ressentir l’horreur d’une telle situation. Passé certains stade, cela devient juste du voyeurisme sadique justifié par le fait que cela pourrait arriver à n’importe qui… mais…Non ! Je ne marche pas là-dedans. Sous prétexte que des choses soient réellement arrivées, arrivent encore et arriveront dans le futur, je n’ai pas besoin de voir ce genre de série pour assumer que je suis tordu tout en faisant croire que je suis normal, au fond. N’oublions pas que c’est la société qui est malade et on en profite pour faire ce genre de divertissements pour se faire de l’argent sur le dos de ceux qui vivent des horreurs, au lieu de trouver un moyen de redresser notre monde. J’ai eu beaucoup de mal à regarder les deux saisons de ce mauvais drame psychologique en entier. Je ne regarderai certainement pas la troisième. Je ne me suis pas vraiment attaché à aucun de ces personnages tordus. J’ai presque fini par tous les détester. La bande annonce est bien, par contre.Il y a notamment Veruca Salt, Blur, Nirvana, Smashing Pumpkins et même Elliott Smith !
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